Réflexion du soir
Actuellement je suis étrangement partagée entre deux façons plutôt éloignées de penser.
Ainsi, en moi s'oppose mon envie d'écrire, d'extérioriser ce que je peux penser, comme je suis en train de le faire là. Tout ça dans un but de catharsis en quelque sorte (en espérant que je ne me trompe pas de terme), dans une tentative de mieux appréhender ce que je pourrais appeler mes démons. Mais aussi plus simplement de partager à mon humble échelle mon expérience, et les quelques conclusions que j'ai pu tiré ces 20 dernières années. Tout en me disant que je n'ai pas honte e ce que je pourrais rédiger, ou que du moins, j'assume cette honte. Cela semble peu clair, mais ça l'ai à mes yeux.
Mais dans un même temps, je me dis que c'est peut-être trop personnel comme approche, quelqu'un de mal attentionné pourrait retourner cela contre moi, de nos jours ou dans le futur, qu'on pourrait me juger et me critiquer. Autant j'accepte très bien les critiques quand cela concerne mes dessins mais quand cela concerne ma propre personne, je me laisse beaucoup plus atteindre.
Alors je ne sais pas.
Que faire ?
Laisser la spontanéité ou alors la peur prendre le dessus ?
Laquelle des deux sera le moins néfaste pour moi ?
Ce post ne nécessite pas forcément de réponse de votre part, même si tout les avis sont les bienvenus, pour le coup ce sont plus des questions rhétoriques que je me pose et dont je cherche des réponses.
Allez, bonne nuit.
Mathilde.